Helsinki and the land...(4 jours)

Nous laissons les minis jupes pour mieux trouver les grands manteaux et la langues des k,ä,ü,ö etc. (Un petit coucou au studio du bonheur, avec le son qui passe en ce moment dans le bar…). Hôtel (Eurohostel) deux étoiles pour une chambre à 98 euro proche de la mer et sur une île-quartier, agréable et proche du centre, 5 min en tram, prix 13 euro pour les 4 jours.

Courage mi amor, nous y sommes presque...

Je dirais qu’Helsinki ressemble à une ville suisse comme Bâle, mis à part ses bâtiments à influence russe et la présence de l’eau.

Une petite envie de bateau pour aller visiter le site de Suolenmelinna, patrimoine mondial de l’UNESCO pour ses forteresses. Très beau petit village fantôme, hein ma ptite fée ?

Au matin, un réveil plutôt chaud nous attend, 80 degrés dans une boîte en bois…le Sauna à l’hôtel! Et oui les finlandais sont de grands consommateurs de fumée chaudes… Je n’ai pas eu droit au fouet des rameaux de boulot par contre…

Oula quelqu'un a t il trop bu...

Nous nous promenons dans les rues d’Helsinki, et nous laissons surprendre par les monuments gigantesques d’origines Russes surgissant de nulle part sur des promontoires aux cents marches (lieu de rencontre incontournable pour tout bon Helsinkois ou jsais pas koi).


Porvoo une petite ville pas si pauvrooo que cela : très jolie avec ses boutiques, cafés et maisons de bois, mais très chère tout comme Helsinki…beuhhhh le prix des bières flambe…et les toilettes sont partout payante…1 euro !!!

Comme a chaque fois qu'elle rentre dans un transport... pendant le voyage (30 sec. apres...) la ptite Anne dors deja et reve de je ne sais quoi...

Les finlandais sont de nature très serviable, mais plutôt à tendance réservée. On peut apercevoir l’histoire de la Finlande par le mélange ethnique suédois, russe, etc.


Et puis….beeinnnn, on verra demain ce que le conte nous réserve, car nous avons quelques petits problèmes avec la carte bancaire de Anne…et nous allons en directions du soleil couchant…
Les banques suisses ne sont vraiment plus ce qu’elles étaient… A Helsinki, nous nous rendons dans une agence de voyage pour acheter nos « Japan rail pass », et au moment fatidique du payement, je sors ma visa. Le vendeur s’y reprend à trois reprises, mais rien à faire, ma visa ne passe pas. Pourquoi ? Je téléphone alors à ma banque pour avoir des explications qu’ils ne peuvent pas me donner sur le moment. Je dois attendre jusqu’au lendemain matin, (attente dans le hall de l’hôtel devant le téléphone publique pendant plus de 20mn) pour que quelqu’un me rappelle et me donne une explication. L’explication : - Nous sommes vraiment désolés, mais votre carte de crédit a été coupée par erreur et nous ne pouvons pas vous la réactiver. Pouvez-vous passer à la banque pour venir en chercher une nouvelle ?- Oui, bien sûr, je suis à Helsinki pour le moment, et je prends l’avion pour le Japon dans quelques heures….
Ma banque est vraiment désolée de cette maudite erreur et s’en excuse à plusieurs reprises. Ils ont beau être désolé, ça ne nous sort pas du pétrin. Je devrai me débrouiller pour envoyer au Japon un fax avec une adresse où envoyer la carte et ma signature. A voir si ma carte arrivera….
Quelle expérience… Car nous devions absolument acheter nos « Japan rail pass » à l’extérieur du Japon et nous avions l’avions dans quelques heures. Nous avons finalement décidé de les payer en argent liquide. Le problème, c’est qu’avec ma carte maestro je suis limitée à 400 euros par jour et que les rail pass coûtaient 451 euros. Afin d’obtenir cette somme totale, nous avons changé 100$ australiens qui faisaient 54 euros (que Kevin avait reçu pour son anniversaire ; Merci à tous ceux qui ont participé à ce cadeau). Oufffff, c’est bon, on les a nos « Japan rail pass ». Le problème, maintenant, c’est qu’il nous restait seulement quelques centimes d’euro dans les poches et que nous devions encore payer nos billets de bus pour se rendre à l’aéroport et MANGER ! Je soupçonne le vendeur à l’agence de voyage (qui portait une très belle chemise Hawaïenne...) d’avoir perçu en moi un fond de désespoir (je dirai plutôt, moi Kevin, les yeux qui brillait chez Anne…), et pour ce fait de nous avoir offert les billets pour se rendre à l’aéroport…
Quelle expérience que de se retrouver dans cette position ; ne pas avoir un sou en poche et ne pas pouvoir satisfaire son estomac qui crie famine… Je devrai attendre d’être au Japon pour retirer à nouveau de l’argent.
(Re-Kevin, au faite après une semaine de vie commune…quelques petites fatigues qui se transforment en stress et crises mais rien de graves ne vous inquiétez pas, tout va pour le mieux entre les deux acteurs du conte…)

Hyvää yötä et näkemiin

Londres, nous y voilà enfin… (5 jours)

A peine arrivés que nous nous dirigeons directement à l’office de tourisme. Directement, nous achetons des passes pour les transports publics : 3 euros par jour pour les bus (à recommander si vous vous rendez un jour à Londres).

Puis, nous nous rendons directement à notre hôtel (Hotel Acacia) afin d’y déposer nos affaires (réflexion faite, nous sommes peut-être partis un peu trop chargé ; ça pèse…) Notre hôtel se situe dans le quartier de South Kesingston au sud de Notting Hill. Nous avons 2 lits en dortoirs (178.- CH pour 2 pers, 4 nuits avec petit déjeuner, sourire de la toasteuse non-compris…) où nous faisons connaissance avec des gens de notre âge. Un garçon vénézuélien et un autre italien tous deux venus pour chercher du boulot, et un jeune couple de mexicains venus pour les vacances.

Le soir, direction le quartier de « Camden Town » pour un petit buffet Taï et une «petite » bière à l’anglaise (1 pinte = 53,33 dl). Ce quartier est plutôt alternatif et rock avec ses pubs « sans touristes ». Merci Namaste pour ce renseignement.

Les jours suivants, comme de bons touristes, nous nous mettons en marche dans notre quête de la découverte. Direction « Harrods » et ses milles trésors. - Vous voulez un éléphant ? - pas de problème on vous le commande. Puis le quartier de « la petite Suisse », les marchés couverts, « trafalgar squar » « la national galerie » le quartier de « Notting Hill » où nous rencontrons un jeune artiste français (Kentin artiste de la vie, dit Kevin, salutation à toi Kentin), puis nous suivons les bords de la thames, « Buckingam Palace », etc….

Bien sûr nous ne manquons pas de jouer les guignols dans les bus à deux étages et les célèbres cabines téléphoniques rouges… Je reprends le conte, moi Peter Pan, un petit tour au dock pour aller voir le plus vieux restaurant en bois «le dickens inn»… (aparté ouhouhouh un ptit coucou à Damien, car dans le bar où j’écris en ce moment il passe le son de nos 20 ans…). Puis j’avais envie d’un gros bisou et de manger une banane sur ‘le tower bridge’ pour avoir de l’énergie afin d’affronter le festival de rue au bord de la tamise avec ses stands, ses sons des musiciens de rue, des bulles de savon pour les enfants et le feu d’artifice prévu, ouha la belle bleue crie un Japonais à côté de moi…et Anne « ouaaaa il fait froidddd… »

En ce qui concerne les Anglaises, elles sont fidèles à elles-mêmes…et sortent en mini jupes (plus que mini !)…. Bye bye, see you later…

Para Donosti Roller...

Prochainement...

...les aventures de Peter Pan et his Fairy... à Londre et Helsinki...

J -1

mmmmm quelle bonne paella pour notre dernier soir en Suisse, en bonne compagnie. Merci a tous pour ce bon moment passé ensemble.

Vendredi 11, le grand départ

Après une nuit plus que courte, nous voilà en route pour Genève en compagnie de ma mère (qui a eu droit à une visite guidée de la ville). Première étape l’ambassade de France pour aller chercher le passeport de Kevin (qu'il s'est fait volé à Genève il trois semaines). Deuxième étape ; la douane pour exporter la camionnette que nous avions achetée pour rentrer d’Espagne. Je pousse un grand soupir, car il est 10h passé, qu’il nous reste encore de la route et que nous décollons à 11h30. Nous arrivons enfin à l’aéroport. Les adieux sont difficiles, mais ce n’est qu’un au revoir. 10h50, nous nous mettons dans la file pour la douane qui n’avance pas… nous attendons, patientons, et enfin voilà notre tour. Il est 11h10 quand commence notre course folle à travers tout l’aéroport. Guitare sur le dos, trousse de toilette en main, nous voilà projetés dans un film américain où les acteurs courent et bousculent tout sur leur passage afin d’attraper leur avion. Kevin devance la course et en arrivant à l'embarquement apprend qu'il ne nous reste plus que 11 seconde avant que l'équipage ne le ferme. A bout de souffle, j'arrive quelques secondes après. OUFFFFF, Le voyage commence bien, nous n'avons pas loupé le vol.

Demain le grand jour du départ...

...la sensation de partir est de plus en plus présente... je crois que vraiment demain matin Anne et moi on se regardera dans les yeux et on dira: eh! on part faire un tour du monde...tu t'en rends compte toi?! Je tiens à remercier tous les gens (familles et amis), pour leur soutien, qui sans eux, ces rêves ne seraient pas possible à réaliser! Merci! A travers ce blog, nous allons essayer de vous faire voyager avec nous et vous faire profiter le plus que possible par des textes, des images, des expériences, etc. Kevin et Anne Tiphaine

Trip around the world one year

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